Et un ennemi de plus ...

" Ainsi nous nous retrouvons...marchant de vie"

Un homme munit d'un manteau blanc lui parlait.

Il portait un masque blanc nacré.

Sa voix était calme et posée.

" Je ne savais pas qu'il était question de toi.
Une noble dame, du moins en apparence, m'a supplié d'aider ses hommes à capturer un mécréant.
Je crois que cette fois-ci tu ne m'échapperas pas."

Medillen s'avanca. Il rit un peu. Et reprit une harangue.

" Tu te méprends, marchand de vie. Ses sbires sont déjà inconscients. Ils puaient le mal. Je n'ai eu aucune difficulté à leur faire avouer leur véritable loyauté, celle du crime, du pillage et d'autre vilenies/

Quand à elle... je m'en occuperais plus tard. Mais c'est un gros poisson. Je devrais faire une enquête.

Mais toi... cette fois-ci je te ramènerais dans le droit chemin. Je le sens, tu es bon. Certains évenements t'on peut-être ..."

Il s'interrompit brusquement. Le silence régnait. Mais une corde se tendit, puis une autre, et encore une autre...

Une pluie de flèches s'envola vers eux.

"J'ai peut-être sous-estimé le poisson"

Medillen érigea un bouclier semi-opaque. Quelques flèches s'y plantèrent. Mais le gros était destiné pour l'autre.

" Une amie commune je dirais... Qui veut notre mort à nous deux. Ca me chagrine, je ne la pensa pas capable de telles extrêmités... "

Une nouvelle salve de flêches s'envola. Elles partirent de la forêt.

* des tireurs ambusqués...*

" Nous avons un but commun je crois. Je propose un partenaria momentanée, marchand de vie. "

Medillen sourit derrière son masque d'ivoire. La petite marionnette était vraiment mignonne. Elle rayonnait de vie...
* Marchand de vie, tu la crées, et tu vends son service. J'espère un jour te faire comprendre la bonté de ton art, si seulement tu n'étais pas assassin*
Il murmura doucement

"Crystal Sword"

Une épée de cristal coula sur son bras.

Il avanca vers la forêt, se moquant des traits qui fusaient vers lui. C'était une injustice et une cruauté gratuire que de vouloir se débarasser de ses alliés. Medillen haissait les deux, il l'haissait encore plus que le mal. Et le gros poisson en patirait.

Il apercut un mercenaire qui pointa une arbalète vers lui. Elle explosa dans sa main et Medillen le frappa à la nuque du revers de la main gauche

(tin j'avais écris un énorme truc et voila que je dois tout recommencer paske soi-disant j'étais pas connecté xD fais chier)

Medillen grimaca de douelru lui aussi. Il avait tourné la tête pour voir comment se débrouillait le marchand de vie, celui qui la crée et qui la prend pour un prix, losqu'un nuage de traits s'envola vers lui.

Le bouclier qu'il avait mis en place n'aurait pas du faillir, mais parmis tous les projectiles, un carreau traversa la demi-sphère argenté. Elle traversa le tissus blanc et s'enfonca dans sa jambe gauche.

Et le tissus blanc se teinta de rouge, comme une goutte d'encre teint du papier papier.

Medillen se l'arracha vivement. Il réfléchit à toute vitesse tout en regénérant du mieux qu'il pouvait la blessure. Deux possibilités s'offraient à lui. Soit c'était un coup de chance et il n'avait pas protégé tout son corps, soit quelqu'un avait été assez puissant pour le traverser. Et alors il était en danger.

Il décida que dans tous les cas il devait passer à la vitesse supérieur. Il tendit les bras.

" Premier cycle, pollen du printemps "

Des petites sphères de lumière sortirent de ses manches. Il constata avec fierté qu'il était désomrais capable de se passer de l'incantation complète sans perdre de puissance.

Les lucioles de lumières voltigèrent dans le bois, semant la mort et la désolation. Elles s'approchaient innocamment d'un ennemis, et alors elles se transformaient en dagues acérées. Elles tranchèrent chair et armures, elle percèrent haumes et yeux. Elles mordirent à pleines dents les mercenaires.

Elles accompagnèrent même le marchand de vie dans son ballet de mort.

Mais soudain, Medillen le sentit. Son aura était puissante, et son arbalète rayonnait de magie. Il ajusta l'arme dans sa direction, vers sa cible : le masque. Dans un réflexe, Medillen érigea un bouclier et se protégea la tête de ses avants-bras.

Le trait traversa le rideau argenté. Il ralentit, mais ne termina sa course que dans l'os de Medillen. Les recepteurs de douleurs hurlèrent l'alarme.

L'information circula dans ses nerfs jusqu'au cerveau, où elle fut décriptée.

Et medillen tomba a genoux sous la douleur. Il cria, et lacha son épée de cristal qui, en tombant à terre, se brisant en mille morceaux.

Et une nouvelle fois, le blanc tissus se tacha de rouge croissant.

Le petit méchant frappa Medillen dans les côtes.

*outain ca fait un mal de chien*

Il allait frapper son ennemi, lorsqu'il se rendit compte au son de sa voix que c'était un jeune ! Presque un gamin.

Medillen pouvait frapper, voir tuer des hommes. Un chevalier de la lumière combat pour une juste cause, et une mort peut être juste si c'est pour défendre les opprimés. Mais...

Il ne pouvait frapper un gosse.

Le gamin s'approcha du masque.

" Dis le coriace ! J'aimerais bien voir quelle tronche de cake tu cache derrière ce masque !"

Medillen sauta sur lui et le pressa contre son corps. Ca lui fit mal aux côtes, et à l'épaule. Mais il devait le faire.

" Petit...Comment peut-on enroler un enfant dans la guerre ? Ce n'est pas un jeux, tu devrais retourner chez toi. Si je peux faire quelque chose pour toi, dis le moi. Je ferais tout pour te rendre une vie normale, loin des souffrances des combats "

Medillen fut attristé de la mort du gamin. Il était mauvais,certe, il l'aurait tué sans remord, c'est évident. Mais cela restait un môme.

Amadeo l'avait tué. Ce n'était pas purement mauvais, après tout c'était un ennemi en connaissance de cause. Medillen avait lui-même tué plusieurs personnes

Qu'une personne puisse sciemment manipuler des êtres si purs le révulsa profondément.

Une haine naquit en lui. Cela était assez rare, elle lui consumait les entrailles.

La bataille était fini, mais la guerre n'avait que commencée

" Marchand de vie, nous ne nous sommes pas fait une amie ici. Si nous partons sans rien faire, des embuscades comme celle-ci seront quotidiennes.
Si nous agissons, nous pouvons mettre un terme a ses agissements horribles.
Ce que je te propose peut te paraître insensé, après tout nous ne sommes pas amis, ni même collègue. Mais nous devons exterminer la vermine dans son antre.
Et après, seulement après, nous pourrons régler notre différent"

[waow deux semaines de folies, trop bossé sorry ^^]
" Je ne te comprends pas. Là est notre différent. "
Medillen ouvrit la bouche pour rajouter quelque chose, mais il se ravisa.

Il espérait du fond du coeur un jour comprendre cet homme énigmatique. Il espérait du fond du coeur a le remettre sur le droit chemin. Il espérait tant...

Mais cet homme ne semblait plus croire en l'humanité. Il avait éxécuté froidement le gosse. Cela n'avait été pour lui qu'un autre ennemi, parmis tant d'autre.

Quelles souffrances a-t-il enduré pour être à ce point désillusioné ?

Il marchait droit comme un i, rigide comme un bloc de glace. Il ne parlait pas.

C'est en pensant a tout ca que Medillen suivit la poupée vers le repaire. La température chutait, la tombée de la nuit devait être toute proche, mais les traces de pas devenaient de plus en plus importantes.

Et là il sentit du monde, beaucoup de monde.

" Ils sont tout près, et en grand nombre "

Afin d'éviter une attaque surprise, Medillen camoufla son apparence. A la manière d'un caméléon, mais d'une facon assez grossière, il devint de la même couleur que son environnement. L'illusion n'était pas parfaite, un observateur attentif n'aurait aucun mal à déceler sa présence, mais la niut aiderait son artifice.

[ il est temps qu'il y ait une petite baston ^^ huk huk huk kawai]

Mais le chevalier n'était plus au même endroit. Tapie dans l'ombre il s'était avancé, toujours avec ses contours imprécis, indéfinis...

" Tu n'étais pas obligé de les tuer. Ce n'était pas un combat loyal ! Il était désarmé et... et... Et puis merde ! Pourquoi t'as aussi buté le gamin ! Je n'aurais jamais du faire équipe avec toi ! Tu n'es qu'un meurtrier, et tu dois être arrêté en attendant ton jugement "

Une autre forme floue s'allongea sur son bras, et dans un rapide mouvement, elle bougea vers Amadeo. Ce dernier l'évita en bougeant sur le côté, mais une petite mêche de cheveu plana dans l'air.

Une alarme retentit au loin, mais Medillen s'en fichait éperdument. Sa naieté l'avait empêché de trouver son véritable ennemi. Le reste lui importait peu.

Medillen rit sous cape. Il commencait a réfléchir stratégie très rapidement alors que des bruits de bottes martelèrent lui arrivèrent aux oreilles.

* C'est un marionnetiste. Je ne percois mal la majeur partie de ses poupées, mais comme il les dirige par magie, j'en percois tout de même quelques fragments. Suffisament pour les éviter je crois. Ce combat va me demander beaucoup d'attention de ma part...*


" Deviendrais-tu loquace avec le danger ? "

Des gardes arrivèrent dans son dos. Armés d'arbalètes, ils visèrent immédiatement l'entrée. Ils n'avaient probablement pas apercu Medillen.

" J'en appelle à l'Ordalie. Que Dieu donne raison au survivant."

Medillen sauta sur le côté, suffisament tôt pour éviter les carreaux qui filèrent à présent sur le marionnettiste.

* Maintenant qu'il doit s'occuper des carreaux je vais disparaitre de son champs de vision *

Il ne regarda pas ce qu'il se passa ensuite derrière lui, il fonca derrière le groupe de brigand occupé à rechargé. Un jeune homme plissa des yeux là où il était passé quelques instants auparavant, mais il se remit vite à recharger son arbalète. Il disparut dans l'ombre du couloir mal éclairé

Medillen était désemparé. Tout était si confus autour de lui. Tout n'était que douleur et souffrance.

Il courait dans un tunnel noir.

Il était un chevalier de la lumière. Il était un des derniers remparts de la bonté sur terre. Sa main ne devait être que pour réconforter, son épée ne devait que défendre. Et pourtant ce n'était pas des fleurs qui s'épanouissaient à son passage, mais bien des cadavres sanglants.

Il courait dans un tunnel noir. Une nouvelle alarme retentit. Des pas se firent plus bryant. Derrière lui, il entendait le cliquetis infernal des êtres de bois, il sentait presque la respiration rauque du meutrier.

Pourquoi tout était si compliqué ? Pourquoi la guerre ? Pourquoi la souffrance ? Et pourquoi est-ce que lui, qui devait protéger le bien, ne semait jamais que le mal dans son sillon ?

Une larme coulat de son masque. Il entra dans une grande pièce lumineuse. Son camouflage ne ferait pas long feu.

Un barrage d'objets de bois lui entravait la route. Des hommes s'étaient retranchés derrières. Barbus, hirsutes, édentés, éborgnés... Ils étaient loin de ressembler à des hommes modèles.
Le mal coulait en eux, le vice expirait de leur personne.C'étaient des brigands, ils avaient choisit leur vie. Mais en quoi cela donnait le droit à un homme de les juger ? En quoi Medillen pouvait se proclamer juge ? De quel droit ?

" Allez l'vaurien, rends-toi et on te tueras sans souffrance. Arf Arf ca sert à rien de résister, sale chien, on est plus d'cent ici. Même qu'on a des mages !
- si-vous plait...
- Ah ces chevalier de merde ! ca fait la grosse tête, puis ca vous miaule dessus.
- ... ne vous relevez pas."

Medillen ne pouvait pas s'arrêter ici. Il lui fallait trouver la seule responsable. Elle seule pouvait arrêter ce massacre inutile.

Medillen leva la paume droite. elle était d'une paleur extrême. Elle devint blanche. Si blanche... Elle commenca a dégager une lumière rapidement aveuglante, si bien que tous durent détourner les yeux. Et ils ne virent pas arriver l'onde de lumière.

Comme un sourire d'une nuit étoilée, un croissant de pure énergie se deversa dans la pièce.

Elle renversa le barrage comme une grande vague renverse un bateau. Elle dispersa les hommes commes des foetus de paille.

Et lorsqu'ils réouvrirent les yeux, l'homme au masque blanc n'était déjà plus là.

Par une porte dérobée, Medillen atterit dans un grand halle d'entrée. Une immense salle aux tapisseries gigantesques, et avec un grand escalier qui menait au deuxième étage. Il connaissait cet endroit... Il était déja venu ici.

C'était le manoir personnel de la dame qui l'avait supplié de l'aidé...

La dame qui l'avait sciemment manipulée...

Lui comme tant d'autre.

Il repensa au gamin qu'Amadeo avait assassiné devant lui. Il repensa à tous ces morts inutiles pour une cause sans fondement. Il revit chaque visage de ses victimes. Même si cela était parfois nécessaire, Medillen abhorrait tuer des êtres vivants. Et il se demandait si tout ceci était absolument indispensable. Pourquoi fallait-il toujours de la guerre et des trahisons dans ce monde ? Où étais passé l'époque de paix de son enfance ? Ou étais passé cet apogée de l'âge d'or ?

Alors qu'il était perdu dans ces pensée métaphysiques, un garde l'accosta.

" Que faîte-vous ici ?! "

Les gardes seraient probablement mieux préparé que la piétaille qu'il avait rencontré. son équipement était bien entretenu. Il devait vite trouver une histoire...

" Heu... je viens pour... inspecter les chassis ! Oh oui ! vous êtes bien fourni j'ai fait le tour ils sont tous nickel. C'est... parfaits, vraiment parfaits....
- Te fous pas de moi manant. On a que des meutrières ici. "

Pourquoi dans les histoires que me racontait mon père les gardes étaient toujours crédules ? Il devait utiliser sa dernière ressource.

Sa dernière carte dans sa main. Son tour le plus réussit...

" Oh ! Attention un dragon !!!!
- tu veux vraiment m'énerver ptit gars ?
- mais regarde derrière toi y'a vraiment un putain de dragon !
- je connais le truc. Y'a rien derrière moi.
- TU VAS REGARDER BORDEL DE ***** "

Instinctivement il se retourna un peu. Et ne vit pas le poing partir vers sa nuque découverte. Il s'effondra dans un petit bruit sourd.

" ah ouais tiens, y'en avais pas ? bizarre ca...Mon illusion a du foirer"

Il se dépécha de cacher le garde dans le passacge secret, et copia son apparence grace à sa maitrise des illusions. Puis il se dirigea au deuxième étage. Vers la chambre de la dame. Vers la seule qui pouvait encore empêcher un massacre s'il elle se rendait...

Amadeo se retrouva devant une immense porte de bois aussi noir que de l'ébène... A moins que ce n'ait été de l'ébène, au quel cas c'était normal. Il passa doucement ses doigts sur les bas reliefs qui y avaient été sculptés. Ils représentaient une immense créature, sorte de croisement entre un dragon, un loup et un oiseau. La tête représentait celle du mammifère, crocs en avant, le regard vif. Le corps était long et sinueux, rappelant celui d'un immense lézard, aux ailes telles celles des démons. Et ce corps était recouvert de plumes colorées, qui, pour le montrer sur cette gravure, avaient été recouvertes de vernis de différentes couleurs. Le travail avait été fait d'une main de maître, et, même Amadeo qui s'y connaissait en la matière, ne pouvait s'empêcher d'admirer le travail.

Sa main buta contre une poignée dorée, qu'il s'empressa de saisir, et la tira, ouvrant ainsi la porte. Une immense pièce toute de blanc immaculé s'offrit à lui. Le sol était de marbre, et les murs d'ivoire, et au milieu se trouvait une fontaine sur laquelle était assise une femme, celle qui avait voulu sa mort quelques temps auparavant. Par réflexe, Amadeo dégaina son épée, et la brandit vers la jeune femme. Cette dernière le regarda et lui sourit doucement, puis s'approcha de lui. Sa démarche élégante et sa robe argentée mettaient en valeur ses courbes parfaites, et ses boucles blondes encadraient joliement son visage. Malgré cette vision "utopique", Amadeo ne défaillait pas, il était toujours sur le qui-vive, prêt à la découper à la moindre tentative d'approche. Elle s'arrêta devant lui, et le regarda droit dans les yeux.

"Je t'attendais, Amadeo."

[Scuzi pour le retard >.< Les deux femmes sont jumelles, ça va mettre plus de piment à l'histoire Et puis ... Vampires qui veulent imposer leur autorité, ça te va ? Elles jouent les aguicheuses et VLAN elles deviennent des vilaines michantes po belles x)]