Le poème d'Héziode.

Le principe est extrêmement simple : vous devez créer un vers de douze pieds (alexandrin pour les ignares ), les rimes devront être embrassées (forme ABAB), en essayant de garder un minimum de rapport entre deux, mais vous pouvez toujours partir en freestyle ^^ (en respectant le règlement, on se comprend hein ...) Premier vers, comme je suis pas inspirée, ce sera du Baudelaire

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumières,

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumières,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre à pied

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
Sous les yeux de la lune, nous mangeons du cochon .

mdrrr xD je rigole x)

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison.

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

[Euh, les rimes doivent être EMBRASSEES, y'a eu une erreur dans la strophe précédente ...]

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

Je fuis la ville, et temples, et tous lieux

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

Je fuis la ville, et temples, et tous lieux
Sur le long chemin de ma sombre damnation

Je crois avoir trouvé un nom à notre poême...relisez le entièrement, puis lisez le titre, et dites moi ce que vous en pensez

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

----

Je fuis la ville, et temples, et tous lieux
Sur le long chemin de ma sombre damnation
Un péché commis, je suis maudit par les cieux

-Le jardin d'Eden-
( ouais ok c'est nul )

Ouep moi j'aime bien :p


Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

----

Je fuis la ville, et temples, et tous lieux
Sur le long chemin de ma sombre damnation
Un péché commis, je suis maudit par les cieux
Par le péché de mon infâme Ablation

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

----

Je fuis la ville, et temples, et tous lieux
Sur le long chemin de ma sombre damnation
Un péché commis, je suis maudit par les cieux
Par le péché de mon infâme Ablation

Le serpent j'ai écouté, la pomme j'ai croquée

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

----

Je fuis la ville, et temples, et tous lieux
Sur le long chemin de ma sombre damnation
Un péché commis, je suis maudit par les cieux
Par le péché de mon infâme Ablation

Le serpent j'ai écouté, la pomme j'ai croquée
Et cela en fut ma toute premiere erreur

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

----

Je fuis la ville, et temples, et tous lieux
Sur le long chemin de ma sombre damnation
Un péché commis, je suis maudit par les cieux
Par le péché de mon infâme Ablation

Le serpent j'ai écouté, la pomme j'ai croquée
Et cela en fut ma toute premiere erreur
Avec Eve, le jardin d'Eden j'ai quitté

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

Le serpent j'ai écouté, la pomme j'ai croquée
Et cela en fut ma toute premiere erreur
Avec Eve, le jardin d'Eden j'ai quitté
Et puis j'ai marché dans l'herbe fraiche sans peur

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

Le serpent j'ai écouté, la pomme j'ai croquée
Et cela en fut ma toute premiere erreur
Avec Eve, le jardin d'Eden j'ai quitté
Et puis j'ai marché dans l'herbe fraiche sans peur

Dieu me pardonna, la vie des Hommes commença

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

Le serpent j'ai écouté, la pomme j'ai croquée
Et cela en fut ma toute premiere erreur
Avec Eve, le jardin d'Eden j'ai quitté
Et puis j'ai marché dans l'herbe fraiche sans peur

Dieu me pardonna, la vie des Hommes commença
Sur la tombe de mon pere tout commenca la

Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumieres,
Et n'ayant d'autre choix que de les suivre a pied,
Nous commençons a souffrir, chaussure d'hier
Sans Savoir Pourquoi Il marché à ses cotés

Le soleil nous suit, il est notre compagnon
Et la nuit nous embelli de sa blanche lumiere.
La terre et le ciel ne sont autres que notre maison
Et nous les vagabonds vivont de la priere.

Nous oublions nos chagrins, parlons de nos joix
En tentant d'oublier tout ce que ne va pas
Mais nos illusions éphémères
N'ont toujours pas trouvé terre.

Le serpent j'ai écouté, la pomme j'ai croquée
Et cela en fut ma toute premiere erreur
Avec Eve, le jardin d'Eden j'ai quitté
Et puis j'ai marché dans l'herbe fraiche sans peur

Dieu me pardonna, la vie des Hommes commença
Sur la tombe de mon pere tout commenca la
destruction lente et douloureuse de ce monde