Nom : Matabeï
Prénom : Keisaï
Âge : 200 ans
Race : Carnesien
Alignement (Bon, Neutre, ou Mauvais) : neutre anciennement mauvais
Profession : Ancien serviteur fuyant son maître, il est devenu voleur
Description physique (trois lignes minimum, je ne veux pas de "voir avatar" ou autre ...) :Keisaï est un jeune homme plutôt séduisant. Beau brun au regard sombre, ténébreux énigmatique et transperçant. Celui-ci lui donne l’impression qu’il sait lire à travers les âmes et les cœurs, mais le peut-il vraiment ? Vêtu d’un long manteau noir et la peau clair, on lui prête parfois des airs de vampire pourtant, c’est un carnésien.
Description mentale :Keisaï est d’un tempérament fort et impulsif. C’est quelqu’un d’intuitif. Il est de nature plutôt secrète et aime s’entourer d’une aura de mystère, ce qui fait partie intégrante de son charme.
- Qualités (au moins trois) : franc et honnête, alerte et félin, il est fidèle aux causes qu’il se fixe
- Défauts (au moins trois) : parfois impulsif et indomptable, quelque peu renfermé et froid, il à du mal à accorder sa confiance
- Goûts (au moins deux "aime" et deux "n'aime pas") : aime : les animaux, la nature, la liberté
aime pas : l’intolérance, les personnes qui se mêlent de sa vie privée
Histoire personnelle (au moins dix lignes) :Keisaï naquit il y’à de cela 200 ans, dans la profondeur étrange et lugubre de la forêt de Finduilas, ce qui peut être une explication à la pâleur de sa peau. Sa mère étant morte en le mettant au monde, Keisaï grandi élevé par son père, au milieu des animaux devenus les seuls compagnons de sa solitude. Il n’a donc guère l’habitude de la présence douce et rassurante d’une femme à ses côtés.
Lorsqu’il eut atteint l’âge de 150 ans, son père fut atteint d’un mal qui ronge, poussant Keisaï, si il voulait le sauver, à quitter le monde dans lequel il avait toujours vécu, afin de trouver quelqu’un pouvant lui venir en aide lui-même ne trouvant pas de remède à la souffrance de celui-ci.
C’est là qu’il fit la rencontre de Kwaïdan Inki, un vieil homme au visage disgracieux et à l’air peu chaleureux. Celui-ci lui expliqua qu’il avait le pouvoir de sauver son père, mais que pour cela, il devrait voyager jusqu’à la forêt de Finduilas. Aussi, Keisaï devrait lui prêter allégeance et, pendant son absence, veiller sur son jeune fils, Kinshaï.
Il veilla donc sur Kinshaï pendant 3 longs mois, s’occupant du mieux qu’il pu de cet enfant qui n’était pourtant pas beaucoup plus jeune que lui. Lorsque le vieil homme revint, son visage était tinté d’une étrange sensation de satisfaction … le genre d’expression qui, sur un visage aussi machiavélique, suscite un sentiment de peur et d’angoisse. Quel pouvait être la raison de ce plaisir ?
C’est à partir de ce jour que Kensaï devint le précepteur de Kinshaï, lui enseignant le maniement des armes, lui apprenant les vertus des plantes, la compréhension des animaux… Il y’avait entre eux des liens plus forts que ceux unissant un élève à son maître, des liens presque fraternel. De temps à autre, Kinshaï souhaitait s’isoler. Pour quel raison ? Keisaï ne le savait pas, et il se priva bien de poser la moindre question. Ces moments étaient pour lui propice à l’introspection … retrouver cette paix intérieure …
Un jour pendant lequel Kwaïdan fut particulièrement nerveux et exécrable, Kinshaï s’abandonna aux confidences … C’est ainsi qu’il lui révéla qu’il avait une sœur et que, bien qu’il ne l’eu jamais rencontrée, il lui arrivait de converser avec cette dernière par la pensée. Kinshaï semblait inquiet, à propos de celle-ci, il avait ressenti une douleur … ça ne lui était encore jamais arrivé … Se pouvait-il que l’inquiétude du père et du fils soient en réalité lié à la même raison, ou n’étais-ce qu’une coïncidence fortuite ?
Depuis ce jour, il arrivait régulièrement à Kinshaï d’évoquer sa sœur auprès de Keisaï. Il parvint même, par l’intermédiaire d’un sort, à dévoiler son reflet à la surface de l’eau. Etais-ce la rivière, qui était si claire et cristalline, ou bien l’aura que dégageait la jeune femme qui inondait cet endroit d’une beauté pure, impénétrable et figée ? Tsuki … c’est ainsi qu’elle se prénommait…Quel prénom tendre et doux à l’oreille …
Les années passèrent, doucement. Kinshaï devenait de plus en plus brillant, Kwaïdan, de plus en plus impatient… Mais quel était donc la raison de cette impatience qui le poussait parfois jusqu’au confins de la colère ? Jamais il ne lui arrivait d’en évoquer la cause, pourtant, il devait en avoir une…
Un matin, Kwaïdan décida de suspendre l’entraînement …l’heure était venue, il était temps … Il envoya son fils au cœur de la forêt d’Itarilé, tuer une femme qui, disait-il, l’avait trahi, encourant par la même son courroux. Celui-ci précisa également que toute personne s’interposant à cette volonté devrait subir le même sort.
Pouvoirs [en plus de ceux de la race et de la profession choisie] (deux maximum, et rien d'invincible, ni de totalement fiable. Pour les mages : cinq pouvoirs maximum) :Maîtrise de l’ombre, Maîtrise du son, Illusion, Discrétion (ne fait aucun bruit et est quasiment invisible), télépathie (enseigné par Kwaïdan) (+ mes deux que je n’ai pas encore déterminés)
Armes (deux maximum) : Shurikens, éventail de combat (cf Kwaïdan)